La première période picturale de Marie-Lydie Joffre se caractérise par une étrange galerie de portraits féminins, dépouillés parfois jusqu'à l'extrême, dont la sobriété ascétique est adoucie par le velouté du pastel.
Marie-Lydie Joffre commente cette période en la décrivant comme un "Regard intérieur", un face à face avec elle-même, ces grands visages silencieux étant une manière de s'affirmer et rester secrète, tout à la fois.